Geisha
Bienvenue, humble visiteur !

Fermez les yeux et laissez-vous charmer par un parfum de jasmin ou un air de shamisen. Voici de quoi rompre l'ennui au milieu des créatures les plus charmantes du pays du Soleil Levant qui dansent comme des tableaux vivants!

Prenez donc une tasse de thé et saisissez le destin avant que le temps ne reprenne ce qui lui appartient.
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Prenez donc une tasse de thé et saisissez le destin avant que le temps ne reprenne ce qui lui appartient.
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«Elle peint son visage, pour cacher son visage. Ses yeux sont de l'eau profonde. La geisha est une artiste d'un monde flottant. Elle danse, elle chante, elle vous divertie...tout ce que vous voulez. Le reste, ce sont des ombres; le reste, c'est un secret»
 
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 Daiki Katô

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2 participants
AuteurMessage
Daiki Katô

Daiki Katô


Féminin Messages : 1
Date d'inscription : 17/05/2014
Age : 29

Feuille de personnage
Âge {RPG}: 21
Divers:
Clan: Mito (Mito)

Daiki Katô Empty
MessageSujet: Daiki Katô   Daiki Katô EmptyMer 28 Mai - 2:51


    [ RPG ]- Mettez ici une ou des photo(s) de votre personnage -


Carte d'identité

Nom : Katô
Prénom : Emiko
Prénom de Geisha : Daiki
Âge : 21 ans
Sexe : Féminin

Fonction

Rang : Geisha
Clan : Mito
Convictions : Plongée au beau milieu des vices de Mito, Daiki n’avait que deux possibilités : s’adapter ou être piétinée. Les Geisha de ce quartier ne sont pas toujours d’une grande beauté en revanche elles sont toutes dotées d’une intelligence stratégique et sont fortement rusées.  Au départ tout n’était que misère pour Daiki puis peu à peu elle s’est adaptée et s’est formé une place au sein des Geisha du quartier, devenant redoutable et manipulatrice. A présent elle apprécie ce quartier, lui trouvant quelque fois certaines qualités. Le vice et la corruption faisait maintenant partie de sa vie, de ses habitudes et de son caractère. Aucun autre quartier ne pourrait lui correspondre dorénavant. Sa vie était ici, à Mito, elle l’était dès le commencement de sa nouvelle vie et elle le resterait. Elle était née pour faire partie de l’âme de Mito.

Relations envisagées (Sautez cette étape si vous n'avez pas encore de partenaires)

Oneesan : (A remplir uniquement pour les Maiko)
Petite(s) sœur(s) : (A remplir uniquement pour les Geisha)
Danna : (A remplir uniquement pour les Geisha)

Détails

Physique : Comparée aux autres geishas, Daiki ne rentre pas dans les normes. Du haut de son mètre soixante douze, Daiki utilise cette grandeur souvent rare pour s’affirmer, son allure toujours très fière ne fait que renforcer cette domination utilisée pour intimider. Bien plus que lui permettre de dominer cette taille lui offre la possibilité de prouver sa féminité, d’imposer sa grâce dans chacun de ses mouvements qui furent autrefois maladroits. Bien que sa grandeur lui donne l’impression d’être une femme forte, Daiki est, comme toute geisha, d’une fragilité indéniable. Cette longue silhouette n’est composée que d’os fins ajoutant à sa délicatesse naturelle et d’une peau douce et blanche, ses longs doigts fins sont eux aussi une autre preuve de sa fragilité. Fragilité contrastant pourtant avec un regard déterminé et perçant que deux yeux noirs reflètent. Les traits de son visage sont eux aussi fins et allongés toute comme sa bouche parfaitement dessinée et constamment teinte de rouge.
Sa peau semble avoir été créée dans de la porcelaine de par sa pâleur presque irréelle qui n’est jamais exposée au soleil, une peau lisse et belle semblant ne présenter aucuns défauts. Quant à sa chevelure elle est pour Daiki l’objet de toutes ses vantardises. Elle est d’un noir profond sans le moindre reflet, d’une longueur et d’une épaisseur incontestable elle cascade dans son dos avec une liberté délibérée. A contre cœur elle les attache seulement lors de ses sorties, les laissant libres lorsqu’elle est à l’okiya. Préférant les perles, les peignes et les pics à cheveux aux fleurs, il arrive à Daiki d’orner ses cheveux de quelques fleurs selon ses humeurs. Malgré le fait que le rouge reste sa couleur préférée, elle doit dorénavant proscrire cette couleur de ses kimonos et se concentre sur des couleurs plus sombres telles que le noir, le bleu nuit, le bordeaux et la couleur prune. Loin d’être d’une beauté à couper le souffle, Daiki a beaucoup de charme, son sourire quotidien y étant pour quelque chose. Elle est en quelque sorte une femme de Mito.


Caractère : (Faites une description mentale de votre personnage en minimum 6 lignes complètes)

Histoire : L’enfant souriante… Voila qui j’étais. Une enfant parmi tant d’autres mais avec la seule qualité d’être souriante. Emiko. Un prénom tellement enfantin dans une société tellement mature. Il me semble que ma plus grande déception fut mon prénom… La parfaite contradiction avec un esprit maussade, mon esprit. L’enfant souriante mais contraignante. Que peut-on faire d’une enfant qui ne fait que sourire ? Elle sourit, elle divertit les voisins, mais que rapporte-t-elle au final en cette période d’austérité ? Elle mange, elle sourit.  A quoi bon ce sourire candide pouvait-il servir ? Mes parents devaient se le demander chaque jour en me regardant… Et puis quand j’eu trois ans, ils s’aperçurent avec stupeur et joie que bien plus que sourire je devenais belle. J’étais donc Emiko, l’enfant souriante et doté d’une grande beauté. Plus les jours passaient plus Ichiko, ma sœur, me détestait. Je n’avais que 3 ans et elle en avait 10. Sa peau devenait grisâtre alors que la vie devant elle était encore longue, elle me détestait… Elle détestait mes cheveux, mes yeux, ma peau, mes dents, mon sourire, mon être en entier et mon âme avec. Elle était la première, elle était la préférée. Et elle le savait. Et elle me le montrait.
Lorsque père et mère travaillaient, c'est-à-dire tout les jours et tard, elle me criait dessus, elle écorchait mon visage si beau si souriant, elle coupait mes cheveux comme il lui plaisait et elle les brûlait, souriante à son tour à l’idée de m’enlaidir.  

Puis j’eu quatre ans, puis cinq. Tandis que mon sourire s’effaçait pour laisser place à l’indifférence, ma beauté elle ne faisait que s’accroître. Qui l’aurait cru ? Une enfant mal nourrie, vivant au beau milieu de la campagne japonaise devenant belle d’année en année. Mais la beauté n’attirait pas l’argent ni même la nourriture et la nourriture se faisait rare. Un matin à l’aube je fus réveillée en hâte par ma mère en pleurs. Je savais que plus jamais je ne sourirais, et elle aussi. Elle me décrassa en m’expliquant entre ses sanglots que je leur coûtais trop cher. Je n’avais rien de rentable et qu’ici ni mon sourire ni ma beauté ne leur serait utile. Bien sûr je ne comprenais pas, je ne comprenais pas ses larmes laissant des traces sur sa peau noircie de crasse, ni même sa hâte à m’habiller, ses nombreuses excuses. Rien. Il s’agissait pour moi d’un nouveau test. Puis elle me parla de villes, d’hommes riches et forts, d’okiya et finalement de geisha. Je ne comprenais rien. Je savais simplement que tout allait s’arrêter ici lorsqu’elle prononça le mot « vendue ».
La dernière chose que je vus en partant pour un monde inconnu fut le sourire remplit de satisfaction de ma sœur et l’argent dans la main de mon père étouffé par son égoïsme incommensurable. C’est alors que je me jurai de ne plus jamais, jamais, faire confiance en qui que ce soit.

La vie à Mito était bien plus agitée que dans mon village natal.  La ville était belle, bien peuplée et son jardin était l’un des plus splendides. Et pourtant je n’avais pu découvrir cette ville que bien des années plus tard. Mon adaptation à l’okiya fut longue et rude.


« Tu souffriras, tu pleureras, tu nous haïras, tu pleureras encore et ce sera long. Tu deviendras geisha parce que tu auras souffert avant tout et cette dette, tu nous la rembourseras. » m’avait alors dit l’okâsan.


Ce fut en effet long. Les hivers passaient, puis voila qu’apparaissaient l’automne alors que le printemps ne semblait avoir été présent que quelques semaines. Mon existence n’existait que pour brosser les sols, aller à l’école, apprendre à être polie et éduquée. Les geisha me détestaient toutes autant qu’elles furent. Je n’étais à nouveau qu’un pâle sourire figé sur un visage taillé dans de la porcelaine. Je n’étais personne. Simplement l’enfant qui sourit. L’enfant pas aussi belle que ces créatures entourées de soie, de poudre blanche, de gloire et d’acclamations à chacune de leur apparition.  Un jour je serai elles. Non…Un jour je serai mieux qu’elles.
Mon apprentissage fut douloureux, je m’avérai être douée en danse mais désastreuse en musique. Ce qui me coûta de longues et douloureuses heures d’entraînement jusqu’à réussir à jouer correctement des morceaux difficilement mémoriser.
Parfois le soir, il m’arrivait de repenser à ma famille, et à ce qu’ils faisaient tous… Puis la fatigue emportait ces vieux souvenirs douloureux. Les jours s’écoulèrent jusqu’à se transformer en années. Le souvenir de ma famille se troublait, je ne me souvenais même plus de leur voix ni de leur visage. Ils étaient à présent de simple fantôme venant m’hanter certaines nuits.

Lorsque j’eu atteint l’âge nécessaire , l’okâsan me présenta une geisha. Elle était la beauté incarnée. Sa bouche était fine et bien sculptée légèrement rougie, son visage était fin et parfaitement bien dessiné. Ses yeux étaient emplis d’une douceur indescriptible. Ses mains, elles, étaient tellement fines qu’elles paraissaient fragiles.


« Je me présente, je suis Katsuki. Je suis dès à présent ta grande sœur, Emiko. » me dit-elle.


Katsuki pensai-je, espoir de la victoire. Cette idée me plaisait. Cette geisha me plaisait. C’est alors qu’en guise de réponse je lui offris ce que je savais faire de mieux: sourire.
Dès le lendemain je commençais mon apprentissage à ses côtés. Je pensais avoir vécu bien des choses depuis ma plus tendre enfance, mais ce qui m’attendait…C’était l’apogée de la souffrance. Je ne serais plus jamais une enfant souriante et innocente.
Bien plus que l’art de servir le thé, que la musique ou même la danse, Katsuki m’appris ce qu’étaient les vices, la corruption, la manipulation. Elle m’appris à utiliser mon sourire pour obtenir rapidement ce que je désirais. Elle m’initia à la politique, m’affirmant que ce n’est pas un monde réservé aux hommes en toute exclusivité mais que les geisha y ont un rôle invisible à jouer.  La geisha de Mito se maquille pour cacher son visage mais aussi pour masquer ce qu’elle est vraiment. Une geisha de Mito doit apprendre à maquiller ses intentions,  ses pensées et doit simplement les glisser discrètement dans l’esprit de ces hommes de pouvoir. La geisha de Mito n’est que mensonge et voile. Et sans même avoir obtenu ce statut, j’étais déjà ce voile incarné.

Quand l’heure fut venue, je dû abandonner mon prénom pour devenir la geisha que j’avais tant voulu devenir. Et pourtant aucun ne me venaient à l’esprit. Ce fut Katsuki qui trouva le bon : Daiki. Parce que j’étais d’une grande splendeur, d’un grand esprit et son grand espoir. C’était le prénom parfait. Je n’étais dorénavant plus cette enfant souriante. J’étais grande. Je n’étais plus un visage inexistant dans un monde réel, j’étais maintenant un visage, une personne dans un monde qui n’existe pas. J’étais et je suis une geisha au visage voilé et au sourire corrupteur.
Dans ce monde où tout n’est qu’apparence, je réussis à m’y faire une place. Etroite au départ et de plus en plus large au fil du temps. Les ochaya me connaissaient pour ma grandeur et les geishas pour mon autonomie incontestable et pour mon savoir de la manipulation. Katsuki se vu devancée par son élève. Elle vu son apogée se démolir sous ma force. Je l’anéantis sans le moindre remord et tout comme j’avais vu ma sœur me sourire, Katsuki me vu lui sourire.  J’étais grande et le monde ne faisait que s’ouvrir à ma soif de conquête.

« Daiki…N’oublis pas que toute tour peut être démolie par la moindre fissure. Ne te laisse pas gouverner par ta soif de grandeur.  Tu risques trop… Oublis ton désir d’apogée. Tu es une Geisha. Une Geisha ne dirige pas, une Geisha divertit. » me dit un jour Katsuki

« Je serai donc une Geisha… Mais une Geisha de Mito. »

Autre :


    [ HORS RPG ]


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Comment avez-vous connu le forum ? Je me demande bien, tiens !
Que pensez-vous du forum ? Hakuna Matata


Dernière édition par Daiki Katô le Jeu 26 Juin - 1:52, édité 2 fois
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W.Noxumbra

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MessageSujet: Re: Daiki Katô   Daiki Katô EmptyMer 28 Mai - 16:51

Bonjour ,
Pense à éditer le sujet en [Terminé] quand tu auras finit!

Dors & déjà bienvenue parmi nous. Smile
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Daiki Katô
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